Retour sur la Rentrée politique de Jean-Noël Barrot à Châteaufort
Le dimanche 7 septembre, le Domaine d’Ors de Châteaufort, un lieu historique du 14e siècle, a accueilli la rentrée politique de Jean-Noël Barrot, Ministre de l’Europe et des Affaires étrangères.
Cet événement, marqué par la présence de personnalités engagées, comme François Sureau ou Hélène Huby, ainsi que de nombreux responsables politiques, tels que Jean-Louis Bourlanges, Astrid Panosyan-Bouvet, Françoise Gatel et beaucoup d’autres, a été l’occasion de mettre en valeur les opportunités pour la France, en gardant à l’esprit la nécessité de repousser les assauts contre nos institutions et de créer les conditions d’un rebond pour le pays.
À cette occasion, Jean-Noël Barrot a rappelé que plusieurs menaces pèsent sur la France. La montée des prédateurs internationaux réunis autour d’une même haine de la démocratie, l’emprise des géants du numérique, les conséquences du dérèglement climatique, la violence grandissante, le surendettement de la France et les carcans administratifs qui entravent l’énergie créatrice du peuple français. Face à ces enjeux, des solutions existent. La simplification et la décentralisation doivent d’abord libérer les énergies et préserver la solidarité. Cela doit se faire en parallèle d’une plus grande justice territoriale, sociale et générationnelle pour que chacun puisse profiter des mêmes opportunités. Reconstituer nos capacités d’investissement doit également nous permettre d’éviter l’austérité subie. Mais c’est en renforçant nos efforts en Européens que nous pourrons faire advenir une véritable souveraineté européenne.
La France est prête au rebond. Les exemples de réussites, individuelles comme collectives, ne manquent pas et témoignent du talent et du génie français. Des Jeux Olympiques et Paralympiques de 2025 à la reconstruction de Notre Dame de Paris, ces accomplissements révèlent l’espérance d’un nouvel essor, mais aussi et surtout l’existence d’énergies exceptionnelles dans notre pays pour y parvenir.
« Il faut toujours dire ce que l'on voit ; surtout-il faut toujours, ce qui est plus difficile, voir ce que l'on voit »,écrivait Charles Péguy. Alors c’est difficile, mais ayons le courage de voir ce que l’on voit. Nous ne baissons pas les armes. Nous ne baissons pas la tête. Nous ne baissons pas les bras.